Vestiaire olfactif : où quand le parfum habille la peau
D’apparence ou de nom, chacune de ces fragrances s’offrent une part de rêve liée à l’univers du vêtement. Une matière, une couleur, un écrin, et si on accordait ces sillages à notre vestiaire et nos styles ? Une alchimie idéale.
La femme smoking :
Une femme de caractère twistant le chic de la féminité avec le dress code masculin. On lui préférera Matière Noire de Vuitton aux notes de caractères révélant un bois animal noirci ici par le cassis et contrasté par la blancheur du narcisse et du jasmin. Du patchouli mais aussi agarwood, pour plonger dans l’Ultime fantasme du vestiaire mixte. Le trouble est total, presque mystique.
La femme haute-couture :
Des belles matières, des couleurs vives, des extravagances parfois, de silhouettes créant la surprise au milieu des défilés haute couture.
L’exploratrice aventurière :
Une réminiscence dans la savane. Un style affirmé un brin South Africa.
La femme BCBG :
Dans son dressing : un foulard soyeux et chatoyant, à porter autour du cou ou autour d’un sac. Et evidemment, l’incontournable petite robe noire cousue de notes gourmandes à croquer.
Retiens la nuit :
Une nuisette en satin légère glissant sur la peau et laissant deviner les courbes du corps.
La femme casual chic :
Qui aime se lover dans des matières nobles, comme le jersey, le cachemire, infiniment confortable.
Et si le comble du chic était de s’offrir un parfum pour textile :
Parfum polymorphe, Toile de Byredo se vaporise sur les étoffes qui nous entourent. On y retrouve le frisson métallique d’un col de chemise amidonnée, l’abstraction et l’oxygène des molécules dont les nez se servent pour faire taire les fleurs trop bavardes, la caresse d’un jersey de coton sur la peau et la senteur du lin repassé et plié dans une armoire ancienne.
