
Tokio Limited : le soin capillaire d’exception qui régénère la fibre avant l’été

Paris, 1er arrondissement. Dans le calme ouaté du salon David Lucas, installé au sein de l’hôtel de Crillon, l’agitation de la capitale semble suspendue. Je viens tester la petite révolution capillaire, celle d’un traitement profond, structurant, presque médical dans sa logique. Le protocole TOKIO Inkarami LIMITED, réservé à un cercle restreint de salons partenaires, s’impose comme LE soin d’exception à la veille de l’été.
1/ THÉRAPIE CAPILLAIRE
Derrière le nom presque clinique se cache une innovation ultra-technique. Si la ligne TOKIO a vu le jour en 2017, sa déclinaison LIMITED marque une rupture décisive. Le soin ne se contente plus de lisser ou de faire briller : il répare, renforce, densifie. L’approche est biomimétique.
L’actif central ? Le fullerène, molécule auréolée d’un prix Nobel de chimie, ici mobilisée comme vecteur d’un complexe moléculaire sophistiqué : kératine, acide hyaluronique, collagène hydrolysé et acides aminés sont infusés au cœur de la fibre, dans un protocole pensé pour reconstruire, couche après couche, l’architecture capillaire.
Mais ce qui distingue vraiment TOKIO LIMITED, c’est son action ciblée sur les cuticules, ces micro-écailles trop souvent négligées qui conditionnent pourtant l’éclat, la résistance et la tenue du cheveu. Le traitement agit avec une précision chirurgicale, jusqu’à 15 centimètres au-dessus des pointes, là où la fibre commence insidieusement à se déliter.
2/QUATRE PHASES, UNE LOGIQUE D’INFUSION
Aux mains expertes de Mathieu, directeur du salon David Lucas au Crillon Paris, le soin se déploie en quatre étapes minutieusement cadencées.
Phase une, purification : pré-shampooing, puis shampooing, suivis de l’application d’une huile citronnée chauffée qui ouvre les écailles du cheveu. Ce geste prépare la fibre à recevoir les actifs, que l’on vient « taper » pour favoriser leur absorption.
Phase deux, reconstruction : une molécule de kératine est déposée sur les demi-longueurs et pointes, puis activée sous vapeur chaude pendant dix minutes.
Phase trois, renforcement : un second passage au bac permet d’appliquer à nouveau la kératine – cette fois sur les racines également – avant un shampooing nourrissant, qui vient « manger » le cheveu, selon l’expression des professionnels, c’est-à-dire l’emplir jusqu’à saturation.
Phase quatre, scellement : une dernière molécule vient refermer les écailles, verrouillant les actifs dans la fibre.
Résultat : À la sortie, la chevelure ne semble pas simplement soignée : elle est revivifiée, dense, tonique. Aucun lissage factice, aucun film en surface. Brillance satinée, souplesse restaurée, toucher velouté. Une véritable reprogrammation capillaire, à l’heure où l’on cherche moins à camoufler les dégâts qu’à traiter en profondeur.
SOIN TOKIO LIMITED
Salon David Lucas au Crillon Paris
Hôtel de Crillon Paris