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Tamara Barrier, une histoire joaillière

Les rencontres, une rencontre, se rencontrer. C’est là que tout commence.

L’instant d’après.

C’est ce qui m’anime, me faire bousculer, happer, transcender par la création. Aperçue durant mon marathon press day chez Dress code, Tamara Barrier est une révélation, incontestablement. Un vrai coup de cœur comme on a la chance d’en ressentir dans nos métiers…  

Johanna Sebag (la fondatrice de l’agence qui la représente) le sait. Tamara c’est un nom.  Celui qui a bousculé il y’a quelques années le microcosme de la place Vendôme avec la maison Victoria Casal.

Aujourd’hui, elle revient sur la scène joaillière avec une signature éponyme.

Nous avions rendez-vous…

Décrire un parcours n’est pas chose aisée, c’est remonter le fil d’une vie. Faire un tour sur les chemins de traverse menant à une histoire. Celle de Tamara Barrier se raconte comme un voyage. Celui-ci commence au détour d’une matinée de novembre chez elle, lové dans le très chic 17e arrondissement. Se retrouver au chaud dans cette résidence de famille autorisée à rester ouverte à ses clientes. Elle aime ce type d’adresse, très cosy. Beaucoup de confort mais sans ostentation. Elle me conduit tout naturellement dans cette pièce boudoir, écrin, studio, nul ne sautait la décrire tant elle surprend quiconque y est invité. Un lieu aux volumes déconcertants, d’anciens magazines de mode disséminés çà et là, une baie lumineuse ouverte sur un jardin, une bibliothèque chargée de (beaux) ouvrages dans lesquelles elle aime se replonger et s’inspirer.

Et puis sa ligne, qui trône fièrement et qui convoque l’esprit glamour des années 1970. Elle travaille l’or comme à l’époque, y mêle les pierre dures : onyx, malachite, œil de tigre, nacre, turquoise et n’oublie jamais le diamant. Boucles d’oreilles, bracelets, bagues, bijou de mains, colliers, c’est tout le style de la créatrice qui se dessine aux contours de ces lignes. D’ailleurs, il suffit de la regarder pour comprendre que le bon goût n’est pas donné à tout le monde. Son allure à l’élégance racée : tenues d’une sobriété tapageuse, twistées par des pièces réservées au vestiaire masculin, auraient tellement parlé à Gabrielle Chanel

 

Oui, Tamara peut être fière de cette nouvelle aventure qui lui sied à merveille. Si elle nous revient, c’est qu’elle a encore quelque chose à dire, à murmurer à l’oreilles des femmes. Son cœur de cible : les élégantes. Celles qui revendiquent un caractère (trempé dans l’or pur), celles qui aiment les bijoux à l’identité forte.

 

Quand elle me confie au détour de notre conversation, ne pas vouloir distribuer sa ligne, ce n’est pas par snobisme. Ce serait mal la connaître. Plus par envie de tisser des liens avec sa clientèle et offrir une expérience confidentielle dans cet écrin si particulier. D’ailleurs, elle rêverait d’en faire un lieu de rencontre autour de la culture, de l’art et de la mode. Ce sera pour bientôt pour sûr… Comme cette révélation sur « les itinérances », un concept pensé pour aller à la rencontre des femmes aux  quatre coins du globe. Finalement tout ici se croise, se répond, se vit… le temps d’une parenthèse littéralement hors du temps…

TAMARA

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